A toi qui aboie comme
un chien
Ne crois tu pas
que l’âge revient ?
C’est écrit sur
chaque main…
Il suffit d’y
croire…
pour que s’allume
le phare
éclairant tout
chemin
Qu’est ce que l’âge
alors ?
Si ce n’est que l’âge
d’or !
Celui d’Hamid et
de Voltaire
C’est un fil qui
lie deux points
N’y croyez vous
pas esprits de foin?
De quelle beauté
est ce poème imaginaire!
L’âge revient et
aussi l’inspiration…
Comme la jeunesse
et toute sensation
Les vers sont
comme les railles…
Ila procurent l’éternité
et le plus beau voyage
Tirons nous d’eux
autant d’avantages
Que les poètes
ont de mystiques mailles !
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