Les sillages de ma jeunesse- Poèmes de juin
Qui me donnera encore un peu d’imagination ?
Si ce n’est que l’immense adoration…
Mon cœur, mon cœur bat plus fort !
N’est tu pas comme ce gaillard radeau en plein
mer
Qui se dirige impavide vers une nouvelle frontière
Défiant ainsi le tempêtes e le mauvais sort
Radeau, radeau que tu es acrobate !
Devant les vagues qui s’éclatent
Tu es une rive itinérante come un ciel plein d’azur
Et pour ma vie dans son océan la vraie levure
Devant les tournures du destin qui s’abattent…
Un seul sentiment suscite mille images
Et un seul amour m’évite le naufrage
Je flotte, o Juin ! Comme les nuages
L’horizon bleu me revigore
Que la fin ne soit pas la mort!
A l’or perdu mènent les sillages
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