Juin, a tu jamais été ?
L’été lorsque mon cœur recommence à battre
Chaque instant réacquiert son charme et son
authenticité
J’avance sur les champs comme un astre
Qui parle la langue des cieux et de l’éternité
Et à chaque pas, je sens d’avoir les ailes
Je lève mes yeux sur l’univers qui brille
Et de chaque rayon de soleil je m’habille
Semble toute la galaxie errer en bas du ciel
Juin encore à toi je m’appelle…
Veux arrêter les aiguilles des horloges
Et garder le parfum des fleurs que le vent
limoge
Que la vie est tellement belle !
Je flotte sur une Venise dont je suis le Doge
L’été, pourtant, s’enfuit comme la lumière
Et moi je loue dans chacun de me vers
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