Sans détours, à juin, poème
Je m’y retrouve dans ton âme
Toi qui sème toute lumière…
Comme un petit rayon éphémère
Qui réchauffe mon cœur comme une flamme
Tandis que devant moi se dévoile tout drame
Je m’apaise avec tout rêve et tout souvenir
Et comme un Pèlerin qui cherche de s’ennoblir
J’adopte à chaque circonstance sa trame
Que de tristesse, que de chagrin !
Un jour, une vie o juin !
Tout est proche et tout est loin
Et moi qui te traverse comme un pèlerin
Alors que les fontaines du pays tarissent
Et les fleuves deviennent de plus en plus étroits
Un seul orage vaudrait des larmes de joie
Je m’y retrouve alors dans ton supplice !
As-tu saisi encore mon état d’âme
Chacun des jours et tes rayons
Se plante sur la terre comme un pavillon
Ephémère, court tout ce qui a du charme
A présent je te désire avec les yeux d’un lion
Que la poésie enchante la forêt
Tristesse, à présent je vais t’implorer…
As-tu oublié ce nous rêvions
Des étés éternels et des amours
Sans souffrances et sans détours
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