Je partirai vers
l’infini
A l’heure
actuelle, où sur mon cœur pèse
Je soupire. L’air est empoisonné et lourd
Et je crie au monde ! Qui n’a pas de secours?
Triste printemps Aux
temps des fraises
Je fuirai avec la
tête bien levé
Vers l’azur du ciel,
vers les hautes rivières
Seul et triste
vers de nouvelles frontières
J’évaderai des
tranchées vers les pays rêvés
Je ne regarderai
ni les drapeaux de la discorde
Ni les symboles d’un
temps fini
Mon cœur et mon âme
s’allient avec l’infini
A chacun ses
douleurs et cordes
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