Merveille- poème
Auguste Renoir, Marine, Guernesey (détail), 1883, Paris, musée d’Orsay Photo © RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Stéphane Maréchalle
Le mythe rayonnant
du poète singulier
S’exposant d’écumes suintantes, pleines de magie
Apparemment elles
se sentent comme des paroles rugies
Dont le sens est
à chercher dans les toiles pliées
Ou que le fil
fuyant altère l’extase
Docile est tout esprit
qui se rend
Il s’incline
défaillant devant ce tyran
Voyez-vous la
poésie a du gaz … ?
Quelle émotion
enterrée dans ces sacrées pages
Comme les vers brillant, comme les marécages
Du poète
singulier qui n’a pas de crépuscule
Des jours de boue
et rubis comme un feuillage
De printemps et d’étés,
d’ombres et de soleil
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