L'artiste et la papillon/ Les doigts comme les dunes
De la vallée
verdoyante s’inspire chaque geste
Et c’est où
chaque tocade acquiert son ton céleste
L'huile sainte de
vie et d'éternelle beauté ?
Hurlerons-nous aux
bêtes de cesser toute cruauté
Rapprocherons -nous
les rives des mers?
Puisque les armes
puissent un jour se taire
Et le ciel ?
L’azur couvert par le gris…
Est-il l’automne
ou le printemps je crie ?
Cette grisaille s’annonce
à mon pinceau
Comme la peine d’un
petit ruisseau
Qui se souvient des
incessants clappements d’eaux
De ses chants des
dunes qui dessinent au désert ses fardeaux
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