Le feu de juin, poèmes
à Juin
Gustave Courbet, Le calme, marine, 1865-1867, huile sur toile, Lons-le-Saunier, musée des Beaux-arts. © Musées de Lons-le-Saunier / Jean-Loup Mathieu.
On aurait pu faire
à juin sa braise
Qui percent même
les froides forêts et les rochers…
Quand à la
dernière fraicheur on ne cesse d’accrocher
Aux chants des hirondelles
qui nous apaisent
Cette lumière
intense se propage
Dans l’univers à
travers les cieux
Le soleil de juin
est toujours radieux
Même durant les pires
orages
Et à chaque
moment qui passe
Mon cœur, mon
esprit s’inquiètent
Si seulement le temps
s’arrête
Chaque jour est
une braise qui laisse sa trace
C’est comme un
rayon qui perce la tempête
Que de naufrages m’ont
ressuscité… !
Que de mésaventures
m’ont excité !
Mais errance est
celle d’un papillon
Qui rêve et
souhaite que ce pavillon
Soit pour l’harmonie
sa belle allumette
Jouons, semons et
rions…
Une vie parfaite
n’est jamais certaine
Les fleurs
fleurissent à longue haleine
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