Métamorphose, du 6 juillet
Pierre Auguste Renoir. La Lectrice
Le 6 juillet arrive comme un emblème
Lorsque les oiseaux chantent et s’aiment
Mon amour comment as-tu évolué ?
Durant ces années qui s’enfuient
De ta belle jeunesse qui luit
A la perpétuelle recherche d’un sentier
Si seulement je pouvais illuminer ton esprit !
Comme un chevalier dans la prairie
Sous le soleil où les merles et les cigales
Chantent la chanson de l’harmonie
Les horizons ne sont -ils pas infinis
Aujourd’hui levons nos calices
Pour exhausser chacun de tes caprices
N’es-tu pas la plus aimée des roses ?
La plus fragile et la plus pure
Je t’entends chanter derrière le mur
comme une cantatrice en métamorphose…
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