A toute frappe- poème

 

A toute frappe

 

                                                           Femme-lisant-Renoir (1)





Les soupirs pesants

Des jours déplaisants

De l’hiver

Me font rêver la couleur

Dorée de l’été et le bonheur

Des cieux bleus et claires  

 

Tout défiant

Rude et scintillant

Ce monde merveilleux

Qui se reflète

Sur terre et dans les cieux

Et me sourit et m’inquiète

 

Et quand je le désire

Il s’enfuit comme un soupir

Et plus rien ne s’attrape

L’heure et chaque instant

A mon cœur s’attache pourtant

Bien qu’ils me dérapent  

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